Découvrez les 10 races de chiens les plus chères et leur prix exceptionnel

Acquérir un chien de race peut représenter un investissement conséquent, notamment pour certaines variétés particulièrement prisées ou rares. Plusieurs facteurs influencent le prix d’un chien, tels que la pureté de la lignée, la difficulté d’élevage ou la notoriété de la race. De l’Akita Inu au petit chien lion, les écarts de tarifs sont significatifs d’une race à une autre. Ce panorama présente les dix races de chiens les plus coûteuses, selon les prix moyens constatés en Europe.
Des coûts qui varient selon plusieurs critères
Le prix d’acquisition d’un chien de race dépend de nombreux éléments. Rareté, popularité médiatique, origine et pedigree jouent tous un rôle dans la valeur d’un chiot. Les races issues de lignées pures ou possédant une histoire singulière suscitent la convoitise des éleveurs et des acquéreurs, ce qui contribue à l’augmentation des coûts. De plus, certaines races nécessitent des conditions d’élevage particulières ou font l’objet de pratiques vétérinaires spécifiques, influençant le tarif d’achat. Les montants peuvent ainsi considérablement fluctuer et atteindre plusieurs milliers d’euros pour les spécimens les plus recherchés.
Le top 10 des chiens les plus chers en Europe
À l’échelle européenne, la liste des races les plus coûteuses témoigne de profonds écarts de prix et de popularité :
- Le « petit chien lion » (ou Löwchen) occupe la première place. Sa rareté, due à la quasi-disparition de la race au 19e siècle, fait grimper le prix entre 3400 et 5700 euros.
- Le « chien esquimau canadien » reste exceptionnellement difficile à acquérir et vaut plus de 5000 euros.
- Le « Samoyède », reconnu pour la pureté de sa lignée et ses performances en concours, se situe entre 2800 et 5000 euros.
- Le « Cavalier King Charles Spaniel », chien d’apparat apprécié des têtes couronnées, se négocie dans une fourchette très large, de 700 à 10 000 euros suivant l’ascendance.
- Le « Rottweiler » combine élégance et robustesse, avec un prix d’achat oscillant entre 1500 et 5700 euros.
- Le « Mastiff tibétain », bien que célèbre pour avoir atteint des records mondiaux de prix, reste disponible à partir de 2300 euros environ.
- Le « Bulldog », dont l’élevage est particulièrement complexe, voit son tarif compris entre 1700 et 2300 euros.
- Le « chien du pharaon », race très ancienne, coûte également 1700 à 2300 euros.
- Le « Bearded collie », prisé pour ses aptitudes au travail mais rare, affiche un coût allant de 600 à 700 euros.
- L’« Akita Inu », emblématique du Japon et menacé d’extinction par le passé, se vend à partir de 350 euros.
Ces chiffres reflètent des tendances constatées auprès des éleveurs spécialisés et des clubs cynophiles européens.
Des effets de mode aux réalités de l’élevage
La flambée des prix pour certaines races s’explique aussi par des phénomènes de mode. L’adoption d’un chien par une célébrité ou un effet viral peut rapidement faire grimper la demande et, par conséquent, les prix. Par ailleurs, les contraintes sanitaires, le respect du bien-être animal et la sélection génétique rigoureuse rendent l’élevage de certaines lignées plus onéreux. D’autres facteurs contribuent : procédures de reproduction complexes (comme l’insémination artificielle chez le Bulldog) ou besoins de santé particuliers.
À cela s’ajoute la rareté : même en Europe, la disponibilité de certaines races reste limitée, ce qui pousse leur valeur à la hausse. Avant d’adopter une race de chien onéreuse, il est conseillé de s’informer sur ses particularités et d’évaluer l’investissement non seulement financier, mais aussi en temps et en soins qu’elle implique.
Passionnée par la vie sauvage, les écosystèmes fragiles et la relation entre l’humain et le vivant, Claire Lemoine est journaliste depuis plus de 12 ans... Voir le profil

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